Broken when lonesome.
J'ai succombé à la banalité d'exposer les paroles de chansons de Wonderwall d'Oasis. Il s'agit en effet d'une double débauche blogienne puisque qu'en plus de poster des paroles de chansons de groupe connu, celles ci sont tirées de la chanson la plus consensuelle qui soit. Mais, là, je l'ai écoutée, et les paroles me convenaient parfaitement. Bref, si vous souhaitez déchiffrer une partie de mes pensées dans la chanson je ne vous l'interdis pas, mais vous n'irez certainement pas loin dans les conclusions. Je vous aime bien quand même.
Bref, retour à la maison après une semaine ma foi bien studieuse, je suis repartie sur les rails après un tour de grand 8 et j'ai des objectifs plein la tête. Le gentil Gousset remis à sa place, je suis rentrée à la métropole en passant par la case shopping, et que fut ma surprise quand j'ai découvert quelques douceurs cinématographiques, culinaires ou de l'ordre du magazine féminin, au chaud, déposés sur mon bureau d'écolière, en rentrant dans "ma chambre" le soir. En bas, mon sac d'internat attend d'être vidé, infime signe de mon déracinement, je m'en rend de plus en plus compte. Tant pis hein. Ca ne m'a pas empêchée de regarder Forrest Gump pour la énième fois et d'en pleurer pour la énième fois. Ma vie n'est pas passionnante du tout. J'aimerais vraiment être idiote comme Forrest, pour me lancer dans des trucs complètement dingues, me laisser porter par les évènements. Mais non, c'est plus fort que moi, la raison raisonnable l'emporte. Et je m'ennuie à mourir. J'ai pas l'impression de profiter, je crois toujours que c'est trop tard. J'ai peur.
Et j'ai surtout peur de continuer sans lui et ça vient briser tout l'article et je vais donc le terminer de suite.